Un ami me disait que Monster etait l'oeuvre la plus maîtrisé d'Arasawa, il a totallement raison !
Enchainement de suprise et de frisson dans ce manga unique. Tout d'abord de part son cadre spatio temporelle atypique, on a rarement vu les pays d'europe central autant mis en avant. Après vien sa narration et plus précisément le nombre de narration.
En effet Arasawa developpe au moins 10 personnages de façon construite et détaillé tous aportant un indice ou une aide sur cette épopée qu'est la recherche de Johan.
De plus Arasawa aime nous faire ces petits fin de chapitre clifenger avec tout cette surprise du genre: "oh ça fais longtemps on l'avais pas vu lui !" Ou " oh putain Johan !!!". Bref, le terme maîtriser et vraiment le plus adapté pour ce recit intriguant qu'est Monster.
J'avoue que les moralrs sont assez complexes, diverse questions humanitaire et existentiel très interessante sont développé ici. Pour ma part j'ai particulièrement aimé une des dernière phrase de Johan: ce n'est pas dans la vie qu'on trouve l'égalité mais dans la mort".
Un ami me disait que Monster etait l'oeuvre la plus maîtrisé d'Arasawa, il a totallement raison !
Enchainement de suprise et de frisson dans ce manga unique. Tout d'abord de part son cadre spatio temporelle atypique, on a rarement vu les pays d'europe central autant mis en avant. Après vien sa narration et plus précisément le nombre de narration.
En effet Arasawa developpe au moins 10 personnages de façon construite et détaillé tous aportant un indice ou une aide sur cette épopée qu'est la recherche de Johan.
De plus Arasawa aime nous faire ces petits fin de chapitre clifenger avec tout cette surprise du genre: "oh ça fais longtemps on l'avais pas vu lui !" Ou " oh putain Johan !!!". Bref, le terme maîtriser et vraiment le plus adapté pour ce recit intriguant qu'est Monster.
J'avoue que les moralrs sont assez complexes, diverse questions humanitaire et existentiel très interessante sont développé ici. Pour ma part j'ai particulièrement aimé une des dernière phrase de Johan: ce n'est pas dans la vie qu'on trouve l'égalité mais dans la mort".