Déconstruction à tir larigot, ça fait toujours plaisir à voir.
J'ai beaucoup appréciés Fire Punch car il assume jusqu'au bout son délire. La déconstruction est omniprésente que ça soit sur les story board ou on enchaine sur plusieurs page le même découpage de case; le but du héros (le fait que le méchant n'en sois pas vraiment un, que le héros ne c'est pas vraiment vers ou il se dirige); l'instrumentalisation de l'aventure par cette délicieuse Togata, rien que ça ! Puis évidemment un rythme effréné qui assume sons non sens en nous introduisant des persos et problématiques qui disparaissent au bon grès de l'auteur.
Les petits morales sur la superstition comme dirait Spinoza sont bien mis en scène (chose rare car c'est souvent maladroit dans les mangas ce genre de thèmes à faire avec subtilité sans que ça recouvre tout le récit). Et la fin m'a satisfait, on peut quitter le cinéma serein après cette histoire d'amour.
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Déconstruction à tir larigot, ça fait toujours plaisir à voir.
J'ai beaucoup appréciés Fire Punch car il assume jusqu'au bout son délire. La déconstruction est omniprésente que ça soit sur les story board ou on enchaine sur plusieurs page le même découpage de case; le but du héros (le fait que le méchant n'en sois pas vraiment un, que le héros ne c'est pas vraiment vers ou il se dirige); l'instrumentalisation de l'aventure par cette délicieuse Togata, rien que ça ! Puis évidemment un rythme effréné qui assume sons non sens en nous introduisant des persos et problématiques qui disparaissent au bon grès de l'auteur.
Les petits morales sur la superstition comme dirait Spinoza sont bien mis en scène (chose rare car c'est souvent maladroit dans les mangas ce genre de thèmes à faire avec subtilité sans que ça recouvre tout le récit). Et la fin m'a satisfait, on peut quitter le cinéma serein après cette histoire d'amour.