Extrait :
Première anthologie d’Urasawa pour moi, j’ai déjà pu lire deux anthologies pour Inio Asano, j’étais donc très impatiente de lire celle-ci. Comme dans toutes les anthologies, il y a forcement des histoires que j’ai mieux appréciées que d’autres. C’est évidemment aussi le cas ici, pour une ou deux, j’avoue ne pas trop avoir compris où souhaitait en venir l’auteur…
La première intrigue fait partie de celles que j’ai pu appréciées, même si certains personnages sont clairement imbuvables. L’histoire commence d’ailleurs mal, puisqu’on retrouve au centre de l’intrigue deux personnages endettés et qui souhaite ce mettre au service d’une partie d’un gang de Yakuza… Oui, le personnage à lunettes est celui que je n’apprécie pas, mais pour le coup, ce caractère convient bien à son rôle… Heureusement, l’histoire finie plutôt bien, et est même assez touchante.
Pour la seconde que j’ai bien aimée, l’intrigue est simple, mais le raisonnement caché derrière est très intéressant. Pour l’exprimer au mieux, Urasawa utilise des souris, et un chat, comme personnages pour cette petite histoire. Les expressions faciales des deux personnages, ainsi que leurs caractères, sont épiques. Il est clair et net qu’un seul des deux personnages comprend les enjeux, et qu’au final, c’est celui qui ne les comprends pas qui est pénard…
[...]
En bref, même si certaines histoires étaient vraiment intéressante, d’autres n’avaient, au contraire, presque aucun intérêt. Cela montre au moins que l’auteur peu parler de tout et n’importe quoi. Malgré ça, se n’est pas un indispensable, comme pourrait l’être une anthologie d’Asano.
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Extrait :
Première anthologie d’Urasawa pour moi, j’ai déjà pu lire deux anthologies pour Inio Asano, j’étais donc très impatiente de lire celle-ci. Comme dans toutes les anthologies, il y a forcement des histoires que j’ai mieux appréciées que d’autres. C’est évidemment aussi le cas ici, pour une ou deux, j’avoue ne pas trop avoir compris où souhaitait en venir l’auteur…
La première intrigue fait partie de celles que j’ai pu appréciées, même si certains personnages sont clairement imbuvables. L’histoire commence d’ailleurs mal, puisqu’on retrouve au centre de l’intrigue deux personnages endettés et qui souhaite ce mettre au service d’une partie d’un gang de Yakuza… Oui, le personnage à lunettes est celui que je n’apprécie pas, mais pour le coup, ce caractère convient bien à son rôle… Heureusement, l’histoire finie plutôt bien, et est même assez touchante.
Pour la seconde que j’ai bien aimée, l’intrigue est simple, mais le raisonnement caché derrière est très intéressant. Pour l’exprimer au mieux, Urasawa utilise des souris, et un chat, comme personnages pour cette petite histoire. Les expressions faciales des deux personnages, ainsi que leurs caractères, sont épiques. Il est clair et net qu’un seul des deux personnages comprend les enjeux, et qu’au final, c’est celui qui ne les comprends pas qui est pénard…
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En bref, même si certaines histoires étaient vraiment intéressante, d’autres n’avaient, au contraire, presque aucun intérêt. Cela montre au moins que l’auteur peu parler de tout et n’importe quoi. Malgré ça, se n’est pas un indispensable, comme pourrait l’être une anthologie d’Asano.