Jiǔ Mìngrén - Nìguāng

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Extrait :
9 Lives Man est un one shot, Josei (équivalent féminin de Seinen) Taiwanais, édité en France chez Maho éditions. Celui-ci retrace l’aventure amoureuse de Ziyang puis de Aiwen, qui aiment tout deux Qing, depuis le collège/lycée. Malheureusement, pour les deux il s’agira d’un échec et ils se perdront de vue après l’école… Toutefois, depuis ce fameux jours, tout deux ce balade avec des cœurs au-dessus de leur tête, représentant leurs tentatives restantes avec cette romance… Une fois devenu adulte, avocat pour Ziyang et à une période difficile pour Aiwen, une nouvelle rencontre à lieu avec Qing, est-ce là le signe d’une seconde chance ?


9 lives man est un manga sur la romance, certes, mais je trouve qu’il présente plutôt diverses versions de l’amour, autres que celles que l’on ressent envers des membres de notre famille ou encore des amis. Quelque chose de différent et de plus mature, que l’on découvre en même temps que nos deux protagonistes principaux. Pour Ziyang, par exemple, il a toujours pensé être amoureux (dans le sens couple) de Qing, même lors de leur rencontre une fois adulte. Il fini toutefois par réalisé, que ce n’était, en tout cas, plus une fois adulte, plus de l’amour, mais de l’admiration et de la reconnaissance qu’il éprouvait. En effet, c’est grâce à elle si aujourd’hui il est devenu un grand avocat d’où cette reconnaissance. Quant à Aiwen, son passage dans ce one-shot est très court, donc je vous laisse découvrir son histoire, qui je trouve, est tout aussi touchante que celle de Ziyang.

Ce one-shot présente également le fait de tourner la page, ou encore de tirer un trait sur le passé, comme on le dit souvent, que se soit pour une rupture ou tout autre évènement très souvent peu agréable. Cette partie là est très succincte dans la partie avec Ziyang, mais est sûrement l’un des points les plus importants dans la partie concernant Aiwen. Difficile de pouvoir tourner la page alors que l’on a le cœur brisé, et pourtant, c’est ce que nos deux protagonistes arriveront a réalisé, chacun à leur rythme, car oui, Qing, ne les as jamais considérés, l’un comme l’autre, comme plus que des amis (vive la friendzone comme on dit).

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